- Je ne connaitrai pas la peur, car la peur tue l'esprit. La peur est la petite mort qui conduit à l'oblitération totale. J'affronterai ma peur. Je lui permettrai de passer sur moi, au travers de moi. Et lorsqu'elle sera passée, je tournerai mon oeil intérieur sur son chemin. Et là où elle sera passée, il n'y aura plus rien. Rien que moi.
- Les Fremen avaient au degré suprême cette qualité (...) qui est le délai que l'on s'impose à soi-même entre le désir que l'on éprouve pour une chose et le geste que l'on fait pour se l'approprier.
- J'aimerais que l'amitié existe entre nous... avec la confiance. J'aimerais que naisse ce respect mutuel qui croît dans la poitrine sans exiger le mélange des sexes.
- Le mystère de la vie n'est pas un problème à résoudre mais une réalité à vivre.
- Le destin n'existe pas. La vie et les décisions de chacun ont de multiples façons de poursuivre leur chemin et donc de changer (ou modifier) le cours des évènements car nos décisions varient selon les circonstances et que les circonstances ne peuvent pas être fixées, elles dépendent des évènements...
- La raison est la première victime de toute émotion violente.
- Il devrait exister une science de la contrariété. Les gens ont besoin d'épreuves difficiles et d'oppression pour développer leurs muscles psychiques.
- Si vous vous fiez à votre seul regard, vos autres sens s'effacent.
- Qu'une pensée soit ou non exprimée, elle demeure une chose réelle et puissante.
- Sous l'effet d'une tension, l'esprit va dans l'une ou l'autre direction : positive ou négative, dedans ou dehors. Concevez-le comme un spectre dont les extrêmes seraient l'inconscient, négatif, et l'hyper-conscient, positif. La façon dont l'esprit réagit sous la tension est fortement influencée par l'entraînement reçu.
dimanche 7 janvier 2007
Dune (Franck HERBERT)
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